Description
Caractéristiques principales de la Pochette vert brun chêne :
Dimensions : 20 x 10cm
Matériaux : cuir de vache, peau
Couleur : peau verte, cuir brun
Fermeture : fermoir aimanté
Cet article est créé, quand cela est possible, à partir de cuir de seconde main récupéré sur de vieux objets ou lors de dons.
Les outils et produits utilisés pour créer cet article sont : couteau demi-lune, ciseaux à cuir, matoirs, marteau de frappe, brunissoire, cire d’abeille, aiguille à lacet, griffe, colle à base d’eau, coupe lacet, couteau à parer, pince à trous, abat-carre. Cliquez ici pour en savoir plus sur les outils et techniques utilisés en maroquinerie et dans l’Atelier de Sam !
Élégante petite pochette en peau, à la fois discrète et originale. Ses tons vert et brun lui donnent des airs forestiers, accentués par le joli motif de feuille de chêne repoussé à la main sur le rabat. De petite taille, elle trouvera sa place dans vos plus petits sacs, mais ne vous y trompez pas : elle peut en contenir, des choses ! Maquillage, médicaments, matériel de jeu, bijoux, charmes et amulettes, petits trésors, jeux de tarots… Elle s’adapte à vos envies et à vos besoins en toutes circonstances ! Son tressage lui confère un caractère chic et choc, et son cuir de récup’ met un point éthique à cet accessoire incontournable.
Comment a été créé la Pochette vert brun chêne ?
Cette jolie petite pochette est découpée d’une pièce dans une peau (veau ou vachette la plupart du temps, mais je m’adapte avant tout aux chutes que j’ai en stock) à l’aide de ciseaux à cuir. Après pose du fermoir métallique aimanté, la pochette est repliée sur elle-même et ses bords collés à l’aide d’un solvant à base d’eau (type colle contact). Une fois l’ensemble sec, les trous de laçage sont percés à travers les deux épaisseurs de peau à l’aide d’une griffe à frapper. La pochette est ensuite assemblée à l’aide d’un lacet fait maison et d’une aiguille de laçage. Pour fabriquer mes lacets, je les découpe dans le cuir à l’aide d’un coupe-lacet, puis je réduis leur épaisseur à l’aide d’un couteau à parer. Enfin, je m’occupe du petit cache en cuir : découpé dans un cuir gras de vache, il est martelé à la main du motif de mon choix et percé à l’aide d’une mince à trous. Je casse ses arrêtes à l’abat-carre, puis je lustre ses tranches à la cire d’abeille à l’aide d’un brunissoire. Enfin, je le fixe à la pochette par laçage.
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